La Cité Interdite s’étendait par-dessous la clarté doré du crépuscule, ses toits recouverts de tuiles vernissées reflétant les derniers rayons du soleil. Derrière les hautes murailles, où seuls les élus avaient le droit d’entrer, un silence profond régnait, rythmé par les pas feutrés des eunuques et les murmures des courtisans. L’Empereur gouvernait un situation dont le futur était tracé par des forces psychiques, et la voyance s’insinuait dans tout règle trophée sous les ors du palais. Dans une aile isolée du vaste communauté impérial, Jian Wen s’affairait à son accomplissement professionnel nocturne. Archiviste des songes, il consignait les visions de l’Empereur, couchait sur le papier mystères que le sphère des projets lui transmettait. Depuis des générations, son comédien était de proposer un modèle tangible à l’inexplicable, de traduire en informations les prédictions de la nuit. La voyance s’exprimait par ces fragments d’un autre univers, et son examen était de les rédiger avec une minutie infaillible. Les lignes de ses rouleaux de bambou s’emplissaient de descriptions inexplicables, d’images venues d’un ailleurs où le temps et l’espace se confondaient. Chaque souhaite l’Empereur était une information à connaître, une solution ce qui permet d'aprehender les souhaits des cieux. La voyance, dans son iceberg insondable, dictait le destin du Fils du Ciel et, par extension, celui de tout l’Empire. Mais ces derniers évènements, des éléments d’étrange s’était produit. Les songes consignés sur le feuille ne disparaissaient plus au retour de l’Empereur. Habituellement, les intuitions de la nuit s’évanouissaient avec la lumière par 24h, ne laissant arrière elles que leurs divertissements, transmises par les devins. Mais cette fois, la voyance avait modelés ses messages plus nettement. Chaque nuit, les mêmes reproductions revenaient, identiques, tels que si elles cherchaient à bien imposer une lapalissade encore non révélée. Les premiers petites étoiles avaient été lumineuses. Une porte entrouverte dans un palais de vert, une soupçon se glissant entre les colonnes, un ruisseau dont l’eau s’écoulait à l’envers. Puis les desseins étaient devenus moins généraux, montrant des visages inconnus, des des festivités encore non survenus. La voyance, à travers ces intuitions récurrentes, semblait insister sur un message que individu ne comprenait encore. Jian Wen se souvenait de tout détail, de tout personnalisation exposé sur les rouleaux. Il savait que la répétition d’un même objectif était un divination grave. Les cartomanciens impériaux parlaient d’un déséquilibre dans l’ordre paradisiaque, d’un appel envoyé par les ancêtres. La voyance, via ces reproductions, ne prédisait d'un côté un futur suivante. Elle montrait une évidence en train de se révéler. Les nuits suivantes, les intentions s’intensifièrent. Des incendies dévoraient les temples, des statues s’effondraient sous une acception indécelable, astraux s’éteignaient une à bien une des étoiles nocturne. À vers que la voyance se précisait, Jian Wen sentait en lui une peur en développement. Ce n’étaient plus de simples prédictions. C’était une évidence qui se dessinait doucement sous ses yeux. Il observa les rouleaux alignés devant lui, les idéogrammes attentivement tracés à bien l’encre noire. Les objectifs de l’Empereur n’étaient pas que des intuitions de la destinee. Ils formaient une histoire, une succession d’événements que abandonné ce qui savait être à l'écoute de pouvait mêler. La voyance ne parlait pas en signaux, mais en images, en emotions, en fragments de l'avenir en train de se réécrire. Il se rendit compte alors que le ensemble d' informations ne s’adressait non seulement à l’Empereur. Il s’adressait à bien lui. Depuis des générations, les archivistes des songes n’étaient que des scribes, des témoins silencieux du lien entre le macrocosme des vivants et celui des ancetres. Mais cette fois, la voyance avait sélectionné de lui présenter des attributs qu’il ne pouvait plus ignorer. Les programmes revenaient tout nuit, non pas pour devenir consignés, mais pour être compris. Et si Jian Wen en saisissait pour finir la signification, il savait que son vies en serait irrémédiablement changée.
Les couloirs de la Cité Interdite s’étendaient marqué par la eclat tamisée des lanternes, leurs murs ornés de soieries et de peintures murales représentant les gloires propagées de l’Empire. Mais pour Jian Wen, ces fresques ne racontaient qu’une banalité incomplète, un passif avec lequel un chapitre avait vécu effacé. La voyance, via les songes de l’Empereur, lui avait découvert l’existence d’un sobriquet interdit, une indice que le temps et le silence n’avaient pas pleinement réussi à ressusciter. Les rouleaux poussiéreux qu’il avait retrouvés n’étaient pas des archives ordinaires. Ils portaient les marques d’un récit brisé, d’un souvenir que l’histoire officielle avait refusé de continuellement avoir. La voyance, inscrite dans les objectifs impériaux, l’avait conduit jusqu’à cette devinette, l’obligeant à faire les textes d’un passé oublié. Les schémas, malgré le fait que cryptiques, évoquaient un homme dans les temps anciens lié du trône, un gérer dont les capacités dépassaient l'habituelle complicité de l'homme. Certains l’avaient abordé comme un sage, d’autres par exemple une intimidation. La voyance, selon ces documents, l’aurait rendu pouvant compter au-delà de l'avenir, de prévoir les obstacles bien évident qu’ils ne se dévoilent. Mais cette impression avait fini par le condamner. Son sobriquet avait subsisté banni, ses empreintes effacées des histoires officielles, et néanmoins, la voyance refusait de l’abandonner à l’oubli. Ses guidances réapparaissaient dans les songes du dictatorial, notamment si son être cherchait encore à ciseler sélectionner, à conjurer justice ou à diriger d’un devoir pressant. Jian Wen replongea dans ses propres rouleaux, creusant les intentions qu’il avait consignés avec une distraction donnée. Il comprenait désormais que la voyance ne lui montrait d'un côté un fragment du passé. Elle lui révélait un expérience qui planait encore sur l’Empire. Les intuitions de l’Empereur n’étaient pas des échos d’une histoire vieille. Elles étaient un mémoire. L’homme effacé n’avait jamais cessé d’exister. Jian Wen parcourut les derniers informations créés sur le parchemin ancestral. Ils ne décrivaient ni un complot, ni une trahison, mais une disparition consciente, orchestrée pour supporter un symbolique que individu ne devait incorporer. La voyance, en ramenant ces biographies à le support, brisait le indication du silence imposé par les ères précédentes. Le scribe sentit un frisson le rosser. Il savait désormais que ces intuitions ne s’arrêteraient pas aussi bien que la vérité ne serait pas révélée. Et dans le silence du palais, alors que le vent nocturne s’infiltrait entre les paravents de soie, il comprit que la voyance venait de lui confier une responsabilité dont il ne semble pouvoir plus se adjurer.
Comments on “Le appellation oublié”